Grand port de pêche à la morue et au hareng jusqu’aux années 70, Fécamp se reconvertit dans la plaisance tout en préservant la mémoire des gens de mer. Les bassins sont occupés par la flottille de petits chalutiers, les vieux gréements et les bateaux de sauvetage.
Le long des quais, les anciennes demeures des armateurs côtoient les maisons de matelots en brique et silex. Si les cheminées des boucanes (saurisseries dans le vocabulaire fécampois) ne fument plus, elles caractérisent encore aujourd’hui le paysage urbain décrit par Maupassant.
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